Suspensions politiques à Rosemont: déni et propagande
Que se passe-t-il à Rosemont? Rien que la répression du mouvement de contestation des politiques d’austérité au Québec qui se poursuit: les enseignant.es seront puni.es, disait le ministre François Blais. Six enseignant.es du Collège de Rosemont, suspendu.es à la suite de la grève sociale du 1er mai dernier, devraient connaître bientôt les sanctions qui pèsent contre eux et elles. Au-delà de la volonté d’effrayer, c’est un étonnant déni de la réalité qui caractérise les actes et les propos de la direction, qui tente de réduire le droit de grève à une série «d’initiatives individuelles».