La normalisation de la violence étatique
Le tout s’est terminé passé minuit, avec des expulsions violentes de l’université, des vitres cassées (dont au moins une partie par des policiers, possiblement pour faciliter leur entrée), des graffitis (dont au moins une partie pour dénoncer la présence de policiers), des gaz lacrymogènes à divers endroits autour du campus, qui, rappelons-le, est situé en plein centre-ville de Montréal, et des gens effrayés ou blessés. Bref, le chaos que semblent tant craindre les partisan.e.s du SPVM s’est produit à cause de leur intervention.